Ce que l’on constate c’est que dès lors que l’on enlève les biais à la source, que l’on redonne tout sa place à l’expression et à la prise de parole, on se donne une chance de faire émerger de nouveaux leviers d’action en dépassant les faux semblants et les postures rhétoriques.
Nous travaillons sur l’étape 3, qui consiste à revenir vers les participants pour les éclairer sur les cartes attentionnelles qui correspondent à leurs réponses, puis engager des conversations sur la façon dont cela les surprend ou les conforte, ce qu’ils en apprennent et comment ils se projettent dans des cartes attentionnelles souhaitables.
Nous sommes convaincus que de nouvelles attentions émergeront de ces conversations et que ces nouvelles attentions ne peuvent que contribuer à des impacts positifs plus durables.